On est en 2017, et ne connaît toujours pas le véritable âge de Régine.
Il est là le grand mystère.
Plus sérieusement, je ne suis pas mécontent que 2016 se termine. L'année fût disons compliquée, ponctuée par des phases plutôt difficiles. Mais surtout, ça a été une année de transition, comme 2015, entre la fulgurance de 2014 et la fulgurance que je prévois pour 2017. Un an pour changer radicalement de vie. Je l'ai écrit dans ma do-to list de l'année, et même la moitié feraient de sacré changements. Plus question de laisser à qui que se soit le soin de choisir comment ma vie se déroulera. Il est question de reconquérir ma liberté, celle que j'avais en 2014, alors libéré de tout et sans aucuns complexes. Il faudra travailler dur, mais ça n'est pas un problème. Il faudra se faire mal, peut-être faire mal à d'autres. Il faudra gagner chaque parcelle de terrain avant d'y construire quelque chose d'encore plus grand, d'encore plus beau. Qui pourrait se contenter du bonheur ?
Il y aura d'abord valider ma licence. Terminé cette partie de ma vie : exit le campus, bonjour l'ESPE. La première étape est d'ailleurs pour le 9 avec mes premiers examens terminaux du semestre. Bien figuré, pour être détendu au semestre prochain. Ça sera sûrement compliqué, mais je ne leur laisserai rien. Lâcher maintenant serai stupide et sans aucun intérêt, pas après le travail fournit pendant deux ans. Après il y aura le master, l'ESPE, le concours à préparer, une nomination, peut-être. Un appartement, sûrement. La vie enchaîne, dans un an et demi, j'espère, le virage sera conséquent. D'où la nécessité de préparer le terrain aujourd'hui. Si on n'est pas capable de changer à 20 ans, on ne le sera jamais.
Il y aura aussi voyager. Bien-sûr, rien de précis, mais j'ai toujours voulu m'attaquer à un tour de France des grandes villes. Est-ce qu'il ne serai pas temps de trouver partenaires et volonté ? Je crois que le plus beau serait de commencé par l'ouest, parce que l'Atlantique m'intrigue. Brest, Quimper,Nantes, Bordeaux... Si, il faudra que j'y réfléchisse un peu plus.
Et puis j'ai envie de donner. Du temps et du réconfort. J'ai déjà regardé un peu, mais cette fois je crois que le formuler est un autre pas. J'étudie une candidature comme bénévole dans une association. Il faudra choisir, apprendre et enfin s'investir. Mais quoi de plus noble que de donner quand on en est capable ? Je cogite là dessus depuis tellement longtemps, c'est insensé que de ne pas avoir encore franchit le pas. On verra ce qui se propose, mais j'aime assez l'idée d'aider, même ponctuellement. Aller savoir, peut-être que changer commence par oser.
Sur ce, je vous souhaite une bonne année. Qu'elle soit douceur et changements.