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Croire que le futur est un avenir.

3 mars 2017

Hors du temps.

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Hors du temps.

C'est la seule chose qui puisse décrire cette semaine.
J'ai fait mon stage, dans un collège.
Elle est là la vérité.
C'est là-bas que je veux être, tous les jours de ma vie.

Ca m'a mis un coups de boost, de fouet.
Ca a claqué dans l'air tellement violemment que c'en est presque indécent.
Elle est là, la place que je cherche.

Envolés les doutes et les manques de motivation.

Dans un an, il y aura le concours.

Dans un an, il y aura ce à quoi il faut que je me prépare, là, tout de suite. 

ET dans deux ans, il y aura ce quotidien, et la fatigue qui viendra avec.
Les coups de stress et les inspections.

Mais qu'importe, c'estça. Ca et rien d'autre.

 

Les choses sont belles parce qu'elles ont une fin.

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25 février 2017

A contre-temps.

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Ici, l'hiver, prétentieux, se pare de la robe du printemps. Il arbore des couleurs qui ne lui sont pas habituelles. Et les fleurs, les gens, les arbres, les animaux, tous, oui tous, se prennent au jeu. Le monde revit doucement, les coeurs reprennent leurs battements au rythme des minutes de soleil gagnées chaque jour. Une éternité que je n'étais pas revenu, coincé entre fainéantise et lassitude. Mais les choses avancent. Inévitablement.

 

Je sais que A. ne joue pas pour mon camp. Je n'en souffre pas le moins du monde. 
Il paraît qu'il a ressentit quelque chose, un jour, une sorte d'appel d'on ne sait quel Dieu. Ça n'est pas Dieu qui me gène, c'est son fan club.
Ça a coupé cours. 
J'ai lâché l'affaire en si peu de temps que s'en est presque insultant. 
Qu'importe.

C'est passé une fois de plus, sans effusion et sans bruit. 
J'ai validé un semestre de plus, fait une nouvelle seconde place de promo. 
Sans bruit, et ça me convient. Je fais ce que j'ai à faire, la réussite se chargera du bruit. Plus tard.
J'ai bâclé cette histoire avec si peu d'envie.
Qu'importe.

J'ai commencé à transformer le jardin, parce que la demi-mesure m'agace.
On aura bientôt tout refait. Il me faudra alors des idées, puisque la place manquera.
J'attends maintenant le printemps pour pouvoir sortir en profiter un peu plus.
J'y ai passé mes nerfs malgré mon doigt cassé.
Mais qu'importe.

Je pars en stage lundi. Observé une enseignante en SVT.
J'attends ça avec impatience, on verra bien.
J'ai préparé ça avec minutie et engagement.
Ça paiera forcément, et ça ça m'importe.

Le temps s'éclairecit, et mon humeur aussi.
Remonter la pente doucement, jusqu'au point atteint il y a quelques semaines. 

Préparer les floraisons printanières, c'est bien ça la vocation de l'hiver non ?
Alors je vous le dis, le printemps sera fleuri.

Comme jamais.

7 février 2017

Délirer.

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Il va bien falloir admettre que ça prend de la place, tout ça.
Le secret, tout ce que je retiens, que je ne donne pas. 
Je crois que ce qu'on ne donne pas, on le garde comme un poids, comme un fardeau.
Donner, c'est changer les poids en sourires, les larmes en rires.
Donner, c'est essentiel pour ne pas sombrer sous ces montagnes de regrets, de sentiments.

La vérité, c'est que je devrais parler avec ma soeur, que je devrais parler à A.
La vérité, c'est que les seules douleurs que je traîne sont dues aux mots que je n'ai jamais prononcé.

J'attends, encore et toujours.
Parce que ça me rassure que rien ne se passe.

J'exorte les filles à savoir, mais je ne suis même pas sûr de le vouloir.
Serai-je seulement capable de bouger ?

C'est compliqué de l'envisager et de savoir que ça ne viendra sûrement jamais.
Son parfum règne sur mes nuits.

Et moi, comme un cristal de neige, je reflète une lumière que je ne saurai créer.
Ça ira.

Ça va toujours.

28 janvier 2017

Déjeuner en paix.

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Il faut bien admettre que cette semaine est étrange. Elle a été le théâtre de pléthore de changements, mais paradoxalement, aucun me concernant. Je suis fatalement pris à défaut, ne sachant comment répondre aux défis qui se présentent à moi. Je suis coincé entre ma propre frustration et celle des autres sans savoir pourquoi elle se manifeste ainsi. La semaine a cristallisé les errances du passés pour me les faire sauter au visage. Je suis là à croire que ça ira mieux demain, mais la vérité c'est que Einstein a raison "la folie, c'est de se comporter de la même manière et s'attendre à un résultat différent". On en est là, à répéter des schémas que l'on sait définitivement néfastes, sans trouver ni la force ni les moyens de s'en extirper. Je suis d'une faiblesse navrante en fait, d'une faiblesse inavouable et intolérable.

Je manque d'une bande son, d'une mélodie qui traduirait correctement mon état. Même ça j'y arrive d'habitude. Z. disait se sentir comme une coquille vide, perdue à ne pas trop savoir quoi penser. Je crois être simplement l'opposé exact. Remplis d'une multitude d'espoirs, de croyances, de souhaits, de sentiments et d'impuissance. Comme ces tonneaux qui débordent, trop plein d'une horrible piquette. Je suis à deux doigt d'un implosion contenue. Je ne sais pas trop comment définir ça, mais je crois que je pourrais disparaître sans états d'âme ce soir, pour effacer les regrets et les doutes qui m'assaillent. Je pourrais vendre mon âme contre un peu de la plénitude de la semaine passée, contre un morceau de silence. 

Ça passera, le clair se fera de lui même. Peut-être même que les choses s'arrangeront. Je pensais que mon bracelet serait là pour me rappeler qu'espérer, c'est vivre. Pour l'instant, il est surtout là pour me rappeler que l'on a rien gagné avant la fin du match. Je crois pouvoir dire que c'est peut-être comme ça que l'on grandit, en perdant pied quand tout devrait aller bien. J'éponge les dettes et regrets des autres, parce que je ne conçois pas de ne pas le faire. Chacun mérite le calme. Espérons qu'un jour quelqu'un saura éponger les miennes. Et croyez moi, il y en a long. A. peut-être, si j'arrive un jour à me décider. 

 

"Cette fois je ne lui annoncerai pas

La dernière hécatombe

Je garderai pour moi ce que m'inspire le monde

Elle m'a dit qu'elle voulait si je le permettais

Déjeuner en paix, déjeuner en paix "

27 janvier 2017

Partir.

 

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Il y a deux ans, mon parrain disparaissait.
Il emportait avec lui des regrets et des souvenirs.
Je me souviens moi aussi, d'une petite phrase qu'il m'a glissé à l'hopital quelques mois auparavant.
"Tu ne profites pas assez". 

Ça claque encore dans l'air, ça résonne toujours dans mon esprit. 
Il a raison, je crois. Il avait déjà raison, et chaque jour qui passe le confirme.

J'ai déjà eu milles occasions de dire la vérité à A.
Que je l'envisageait, Lui et personne d'autre, pour demain.

J'ai déjà eu milles occasions de dire à ma parents que je suis du camp opposé. 

J'ai déjà eu milles occasions de m'inscrire dans une oeuvre de charité.

J'ai déjà eu milles occasions d'avancer pour profiter encore plus des choses de la vie.

 

Mais j'ai toujours trouvé milles excuses.

 

Et quand viendra le temps de faire les comptes,
si rien ne change, 

je nourrirai milles regrets.

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20 janvier 2017

Flotter.

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Suspendu. Le temps s'emballe, se dérègle, accélère et décélère de façon incontrôlable. Mon esprit le suit pourtant sans aucune difficultés, à l'inverse de mon coeur qui chavire doucement. Je suis saisie par cette sérénité triste, presque mélancolique tellement l'apaisement est total. J'ai repris les cours, la danse et les soirées, et j'aime ça. On ne se refait pas. La pesanteur s'est absentée depuis quelque jours, et je flotte dans une vie apaisée. Cette semaine tout a été pour le mieux, et je tenais à l'écrire aussi. Il n'est pas question uniquement de douleurs et de peines, il est surtout et souvent question de bonheurs et de recul. 

Je crois que j'aime toujours A. Comme ça, sur les bords, parce qu'on ne se refait pas non plus pour ça. Je crois que je n'ai jamais autant communiqué avec C non plus. Paraît que j'aurai dû envisager internet, mais c'est trop loin de moi je crois. J'aime les gens, vraiment, mais les vrais. Ceux à qui l'on peut sourire, tendre la main, dire merci. Ceux qui sont palpables, et qui apportent leurs sentiments avec eux. J'aime les rencontres, c'est vrai, mais celles fortuites, au détour d'un hasard ou d'un mal-entendu. J'aime la vie quand elle est imprévisible et tendre, quand elle panse les plaies, toutes les plaies, avec une personne que l'on attendait pas.

Je ne crois pas être de ceux qui désespérerons un jour, en tous cas je le souhaite, parce qu'à 20 ans, je crois voir des choses que d'autres ne soupçonnent pas. Pas précoce, ni mature, juste décalé par rapport à d'autres. Sûrement pas tout seul non plus. Mais calme comme un ancien, de ceux qui ont appris, parce que j'ai toujours voulu écouter plus que parler. Écouter les vraies grandes tristesses, les plus dur combats, les terribles histoires. Apprendre ce que d'autres ont pris une vie à comprendre. 

A la vie comme à l'école, pour aller plus loin, toujours, que ceux qui nous offrent la possibilité de le faire.

La véritable chance de notre génération réside dans la précédente.
Gageons qu'un jour d'autres l'apprendront. 

15 janvier 2017

Rire.

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Certains jours, on se demande pourquoi on fait du sport. On se demande pourquoi on continue à s'infliger ça. On se demande ce qui nous motive encore à nous lever le dimanche matin pour aller jouer au basket. Certains jour, on dirait à tout le monde d'aller voir ailleurs, on se cacherait bien dans un tout petit trou, au fond d'une mare ou d'un lac. On irait bien faire une retraite en Laponie. On se dit qu'à notre niveau ça n'a pas d'intérêt. On se décourage et on nourrit notre frustration en ne faisant pas l'effort de plus. 

Et puis il y a des jours comme aujourd'hui, où on se rappelle pourquoi on le fait. Des jours où on se souvient qu'on se lève pour se retrouver, pour partager, pour transmettre. On se lève pour être ensemble, et pour une fois regarder dans la même direction. Et si certains jours ça pique, on doute de tout le bien-fondé de l'histoire, et bien il y en d'autres où l'effort paye, où la plaisir s'empare de tout le monde, inonde les esprits. Ces jours là, on ne se rend pas toujours compte, mais je crois qu'on ressemble à un club, dans le sens le plus noble du terme. Parce qu'on est là mais pas uniquement pour nous, et que c'est ça qui devrait motiver chacun et chacune à se lever. Pour célébrer la vie, partager du gâteau et faire mentir la grisaille et les anciens et leur "jeunesse décadente". Il y a des jours où perdre, c'est gagner. Et moi, je me lève pour gagner, progresser, partager et donner. Il est toujours temps.

10 janvier 2017

Réviser.

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Mis à part ça, il va falloir que je tienne mon coeur en laisse et un peu plus près de moi. Je recommence à m'emballer pour rien, à croire que c'est possible, alors que j'avais fais le deuil. Il est clair que A. ne sera jamais rien de plus, mais Z. a réveillé quelque chose avec ses histoires. Je suis un peu perdu en fait, comprimé entre ce sur quoi je dois me concentrer et ce sur quoi mon cerveau veut se concentrer. Je flotte dans l'air, me laissant porter par la succession inévitable des jours, en me répétant que jeudi soir les partiels seront terminés, qu'il sera alors temps de s'intéresser à ce qui devrait être la priorité constante de chacun : le calme. Mais présentement, c'est impossible.

Il y a ce qu'on doit faire,
ce qu'on fait,
ce qu'il aurait fallu faire,
ce qu'on aurait pu faire,
ce qui doit être fait,

et ce qu'on ne fera pas.

7 janvier 2017

Geler.

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Il n'y a pas que les enzymes de mon cours de biochimie qui oscillent entre un état tendu et un relâché. Mes partiels débutent lundi, et je ne sais absolument pas quoi penser de là où j'en suis. Comme coincé entre la culpabilité de na pas avoir fait assez, la pression de ne laisser à personne d'autre la place de major de promo, et le sentiment que de toutes façons ça ira, parce que ça va toujours et que je m'en suis toujours sorti. Je suis pris dans un étaut, entre l'envie de bien faire et celle de faire moins pour profiter. La vérité, c'est que je ne crois pas avoir été face à autant de difficulté à m'y mettre, peut-être parce que la configuration est nouvelle. D'habitude, on enchaîne, mais là avoir trois semaines me coupe totalement l'élan. Je n'ai de toutes façons jamais sû être studieux. 

Les choses se mettent en place doucement pour cette année. J'ia commandé un nouveau T-shirt -très- clair. Peut-être que ça viendra de là. Qu'importe au fond, c'est multiplié les possibilités qui me poussera au coup de folie. Ça viendra, comme c'est venue pour ma soeur. Et puis j'envisage très nettement d'aller voir mes grands parents en Bretagne en Février, parce que je n'ai pas passé les fêtes avec eux, et que depuis leur déménagement, on ne s'est pas revus. Ca me fait de la peine que d'imaginer que l'on perd du temps. La distance, j'ai toujours détesté ça. Alors je vais peut-être prévoir ma première réussite de l'année, couchée sur ma to-do list 2017, à savoir aller jusqu'à eux puisque, de toutes façons, eux ne peuvent plus venir jusqu'à moi. Le temps dessine des gens qui s'aiment, et puis il les emporte, les efface doucement, ne laissant derrière lui que la trace du crayon d'une vie passée. Pour ma part, sans renier l'effet du temps, je ne le laisserai pas voler le reste d'une vie que je sais à durée déterminée. Je prendrai chaque part même sans qu'on ne me l'offre. J'aurai de toutes façons déjà assez de regrets à nourrir. 

Je m'en retourne à ma biologie animale. Je suis très en retard, mais paradoxalement, je ne trouve pas la force de me presser.
Pour cela, il aurait fallu que j'en sois capable.

Inconvénients des gens un peu trop patients.

1 janvier 2017

Planifier.

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On est en 2017, et ne connaît toujours pas le véritable âge de Régine.

Il est là le grand mystère.

Plus sérieusement, je ne suis pas mécontent que 2016 se termine. L'année fût disons compliquée, ponctuée par des phases plutôt difficiles. Mais surtout, ça a été une année de transition, comme 2015, entre la fulgurance de 2014 et la fulgurance que je prévois pour 2017. Un an pour changer radicalement de vie. Je l'ai écrit dans ma do-to list de l'année, et même la moitié feraient de sacré changements. Plus question de laisser à qui que se soit le soin de choisir comment ma vie se déroulera. Il est question de reconquérir ma liberté, celle que j'avais en 2014, alors libéré de tout et sans aucuns complexes. Il faudra travailler dur, mais ça n'est pas un problème. Il faudra se faire mal, peut-être faire mal à d'autres. Il faudra gagner chaque parcelle de terrain avant d'y construire quelque chose d'encore plus grand, d'encore plus beau. Qui pourrait se contenter du bonheur ? 

Il y aura d'abord valider ma licence. Terminé cette partie de ma vie : exit le campus, bonjour l'ESPE. La première étape est d'ailleurs pour le 9 avec mes premiers examens terminaux du semestre. Bien figuré, pour être détendu au semestre prochain. Ça sera sûrement compliqué, mais je ne leur laisserai rien. Lâcher maintenant serai stupide et sans aucun intérêt, pas après le travail fournit pendant deux ans. Après il y aura le master, l'ESPE, le concours à préparer, une nomination, peut-être. Un appartement, sûrement. La vie enchaîne, dans un an et demi, j'espère, le virage sera conséquent. D'où la nécessité de préparer le terrain aujourd'hui. Si on n'est pas capable de changer à 20 ans, on ne le sera jamais. 

Il y aura aussi voyager. Bien-sûr, rien de précis, mais j'ai toujours voulu m'attaquer à un tour de France des grandes villes. Est-ce qu'il ne serai pas temps de trouver partenaires et volonté ? Je crois que le plus beau serait de commencé par l'ouest, parce que l'Atlantique m'intrigue. Brest, Quimper,Nantes, Bordeaux... Si, il faudra que j'y réfléchisse un peu plus.

Et puis j'ai envie de donner. Du temps et du réconfort. J'ai déjà regardé un peu, mais cette fois je crois que le formuler est un autre pas. J'étudie une candidature comme bénévole dans une association. Il faudra choisir, apprendre et enfin s'investir. Mais quoi de plus noble que de donner quand on en est capable ? Je cogite là dessus depuis tellement longtemps, c'est insensé que de ne pas avoir encore franchit le pas. On verra ce qui se propose, mais j'aime assez l'idée d'aider, même ponctuellement. Aller savoir, peut-être que changer commence par oser.

Sur ce, je vous souhaite une bonne année. Qu'elle soit douceur et changements.

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Croire que le futur est un avenir.
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Méditer.
"Prends garde au présent que tu crées, car il doit ressembler au futur dont tu rêves" 
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"Le bonheur est salutaire pour les corps, mais c’est le chagrin qui développe les forces de l’esprit." 
          Marcel Proust

"J’ai l’habit d’un laquais et vous en avez l’âme." 
          Victor Hugo

"On écrit parce que personne n'écoute." 
          Georges Rochefort

"Un problème sans solution est un problème mal posé." 
          Albert Einstein

"Une personne qui n’a jamais commis d’erreurs n’a jamais tenté d’innover." 
          Albert Einstein

"Les gens qui s'obstinent à vivre avec leur temps disparaissent avec lui" 
          La femme parfaite est une connasse 2

"Soyez vous même, les autres sont déjà pris."
          Oscar Wilde

"La patience est amère mais son fruit délicieux."

"J'ai décidé d'être heureux, parce que c'est bon pour la santé."
          Voltaire

"Le passé c'est le passé Darling, ça parasite le présent"
          Edna Mode (les indestructibles)

"Une femme intelligente a dit un jour : quand on veut changer le monde, on ne dort pas."
          Drop dead Diva

"La folie, c'est de se comporter de la même manière et s'attendre à un résultat différent."
          Albert Einstein

"Beaucoup de faux pas ont été faits e restant immoblie."

"Il n'y a qu'une seule façon d'échouer, c'est d'abandonner avant de réussir."

"Il n'y a pas de vet favorable pour celui qui ne sait pas où il va."

"La réussite survient lorsque les rêves deviennent plus grands que les excuses."

"La vie a un début et une fin. Le reste, c'est ce que vous en faites."

"Ne pas partager est une perte de temps. Merci de m'en avoir fait gagner."
          Michèle Bernier
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